Moi le pixélisé

▲ NOM : Chu. Bref, net, précis. Pour la petite sourire que tu te trouves à être. On te dit souvent chou, mais allez savoir pourquoi, tu ne le prends pas réellement comme un compliment. ▲ PRÉNOM : Ton prénom se trouve à être Pika. Non pas parce que tu puisses être piquante - ça, on n'en doute pas - mais parce que les choses ont été faites ainsi. Pika voulant dire tonnerre, ou alors foudre. Qu'importe. ▲ ÂGE (du jeu) : 17 années. Et bien évidemment, la maturité qui va avec ces petits nombres. ▲ NOM DU JEU : Pokémon. Quoique tout le monde sait parfaitement qu'il devrait se nommer Pikachu.. ▲ MON STATUT : Des gentils, bien évidemment ! Cela ne t'empêche pourtant pas s'avoir bien souvent mauvais caractère. ▲ MON RANG : Connue? Tu crois l'être. Ton nom se trouve sur toutes les lèvres, Tes traits sont les premiers du jeu. Mais il y en a tant d'autres qui sont nés au fil des années, tant d'autres pokémons que maintenant, tu n'es qu'un pale figurant. Une marque de commerce. ▲ MON METIER : Travailler ? Travailler ?! Ça se mange ? ▲ MON AVATAR : Chloe Norgaard.

Ce qui te définit ▲ Au travers de tes paupières danse une éternelle flamme ; on a beau lui donner de nombreux noms, elle ne répond qu’à un seul. La liberté. Tu fais partie de ces gens qui ne semblent obéir qu’à une loi ; celle de la liberté. Vibrante comme le tonnerre et dure comme la pierre, ton caractère n’est certainement pas des plus doux ; peu importe, tu l’assumes complètement. Tu as ce feu au fond de ton cœur, au creux de tes prunelles, et battante, tu n’hésites pas une seconde pour entretenir pareil situation. Tu ne fais pas partie de ceux qui donnent facilement leur confidence, mais dès l’instant où la chose est faite, tu donnes ton cœur avec force, avec acharnement. Tu es prête à tout pour les gens que tu aimes, voir même à mourir, et pour rien au monde tu baisserais les bras. Ton caractère est naturellement changeant, et si parfois tu peux aborder le sourire le plus adorable du monde, il n’est pas étonnant de te voir la seconde suivante totalement exécrable envers quelqu’un que tu n’apprécies pas. Tu ne portes pas de masque, tu ne bernes pas les gens de faux semblants; tu es toi, tout bonnement, sans porter de petits gants blancs. Des étoiles dans les yeux, tu t’émerveilles devant les petites choses de la vie bien facilement, tout comme tu peux être en colère pour très peu. Lorsque tu as une idée bien ancrée au fond de ta petite tête, il est bien difficile de la faire sortir de là ; tu es bornée comme il est bien rare de l’être, si bien que cela peut en devenir agaçant. Dès que tu te fais une opinion sur une personne, il est difficile de t’en défaire, chose plutôt regrettable. Il n’est pas mentir de dire que tu es caractérielle ; tes sentiments guident tes pensées et tes paroles, et cela en tout temps. Tu vis en suivant la voix de ton cœur, et cela malgré le fait qu’elle peut être parfois fausse. Qu’importe. Franche, tu peux en venir à dire des mots qui seront regretté un jour, mais tu n’y prêtes pas grand attention. Le vocabulaire plutôt restreint dans le jeu, tu te mets pourtant à bavarder comme une folle lorsque tu en sors ; il est bien difficile d’en suivre le rythme. Ange ou démon, tu ne sais pas réellement sur quel pied danser, alors tu te contentes de passer de l’un à l’autre sans fin, rigolant et t’amusant. Tu aimes la vie, tu la manges et tu la vis sans gêne, le cœur grand ouvert, toujours prête. Gamine au plus creux de ton âme, tu refuses d’une manière presque sordide de grandir et tu agis bien souvent de manière irresponsable; le monde te semble être un grand terrain de jouet et tu y joue sans gêne. L’esprit souvent léger, tu ne t’attarde pas aux bêtises que tu pourrais faire, et il arrive bien souvent que tu en fasses. Trop souvent, même. Mais la vie est une aventure, n’est-ce pas ? Alors autant y mettre quelques obstacles. Cœur de miel, tu es la petite souris qui se fait bien souvent frapper par la foudre; ton cœur se voit rapidement pris, ton amour se voit intense, et pourtant il disparaît tout aussi rapidement, ne durant jamais bien longtemps. Tu collectionnes les coups de foudre, tu en vis. Jamais encore tu n’as connu l’amour, le vrai, celui qui dure, et tu en viens à voir qu’il est comme le vent ; intouchable. Malgré les côtés plutôt intenses et surtout agaçant de ton caractère, il n’en reste pas moins que tu es une petite souris, certainement la plus magnifique de tous, et que dans tes yeux brillent les plus douces lumières.

Ce qu'il faut savoir ▲ Au plus profond de ton petit cœur, il y a toujours eu cette éternelle peur ; celle du noir, celle de la solitude et puis de l’emprisonnement. On pourrait clairement te décrire comme claustrophobe, mais cela serait bien trop simple. La chose est beaucoup plus profonde que tout cela. Tu as été un second choix, le dernier recours dès l’instant où tu es apparu ; s’il y avait eu mieux, tu ne serais pas là. Tu as une peur affolante de l’abandon, une peur alarmante de n’entendre que l’écho de ta voix, comme réponse. Tu trembles à la simple pensée d’être doucement effacée. Certes, peut-être es-tu connu par tous, mais au final, le temps a fait son travail. Si au début tu étais toujours là pour sauver Sacha, la chose se trouve plutôt rare, maintenant. Prisonnière dans le nouveau jeu, dans la dernière version, tu es éternellement prise aux côtés de ton ami sans bouger, et ça te fait affreusement peur. Par ailleurs, tu détestes cette incapacité à prononcer le moindre mot, lorsque tu es prisonnière là-bas. Prononçant éternellement les trois syllabes de ton nom, tu sens la colère montée en toi bien rapidement. C’est certainement pour cela que tu ne cesses de parler, une fois que le jeu prend fin. L’estomac aussi grand que le cœur, tu manges dès que tu en as l’occasion, peinturant tes plats de ketchup. Tu observes le ciel en souhaitant en faire partie pour avoir une liberté particulière, peu importe que ce soit en étant volage comme le vent ou alors agressive comme le tonnerre. Tu pourrais passer des heures assise et à attendre de voir une quelconque danse prendre forme dans les cieux. Âme d’éternel gamine, tu trembles en observant ceux qui sont maintenant grand ; au fond de toi, tu sais que tu n’es plus aussi gamine qu’il y a un temps, et cela te fait peur. Tu peux garder cette flamme en ton cœur, tu veux garder ce souffle, au travers de tes lèvres.

Du noir. Uniquement et seulement du noir. L’histoire a commencé comme ça. Longtemps, l’histoire a été ainsi. Longtemps, tu as tremblé dans le noir, une fois le jeu commencé, en attendant l’instant où ta pokéball s’ouvrirait, et où tes yeux croiseraient la lumière. À chaque fois, malgré le rôle, Sacha t’accueillait d’un grand sourire. Parce qu’il savait, quelque part, à quel point tu détesterais être prise dans une pareille cage, à quel point tu pouvais trembler à la simple pensée d’y retourner. Il y a toujours eu cette chaleur certaine, une fois bien plongée dans ses bras, après les scènes quelques peu exécrables et pleines de caractère. Tu aimes ton caractère, tu aimes ton histoire ; pourtant, tu ne peux t’empêcher de le trouver lourd, au fil du temps. Tu aurais pu être heureuse avec l’arrivée de nouvelles versions, d’évolution. Tu as cru l’être, un moment. Mais doucement…doucement, ton visage s’efface, d’autres apparaissent. Tu ne deviens d’un figurant, qu’un symbole. Si au début c’était ton histoire, maintenant ce n’est certainement plus le cas. Les enfants souhaitent d’autres pokémons. Tu n’es que Pikachu, certes mignon, mais un peu vieux quand même. Il y a tant d’autres choix que toi. Parfois, tu joues. Parfois, ils te prennent. Souvent, tu n’es qu’une ombre au côté de Sacha, vagabondant dans les arènes, dictant quelques mono syllabes, et puis réalisant une scène d’introduction un peu marrante. Sinon, tu restes là. Tu es là, tout bonnement. Mais qu’importe, n’est-ce pas ? Ce n’est qu’un jeu, ce n’est qu’une histoire déjà écrite pour divertir les joueurs et où tu dois aborder un quelconque rôle. Dans la réalité, dans la gare centrale, tu as ta place, tu n’es pas effacé. « Pika ?! Tu viens ? » Tes yeux s’ouvrent grands, ta tête se lève, sort de tes épaules, là où elle s’était cachée. Face à toi, Sacha souvent bien heureux, bien joyeux, et celui-ci glisse jusqu’à tes lèvres. Tu te prends les pieds une seconde, alors que tu te mets à courir, mais au final, tu arrives dans ses bras, et tu y restes bien accroché.

Mais ami ou non, compagnon de chemin ou de voyage, qu’importe le nom qu’il porte, il n’est pas toujours là. Vous n’êtes pas toujours ensembles. Au début certes, mais le temps a eu raison de vous. Tu en es triste, mais tu le comprends. Sacha a sa vie, Sacha a d’autres amis. Il connait tout de toi, tu connais tout de lui ; il est bien normal qu’au fil du temps, les choses commencent à être lassantes et qu’il aille voir ailleurs. Sacha est un adulte, maintenant, ou alors il ose dire en être un ; toi, tu es toujours cette petite fille qui ne peut tout bonnement pas grandir. La petite souris au fin fond de son trou. Alors tu souris, alors qu’il s’éloigne au travers de la gare centrale, tu hausses des épaules, et puis tu vas te perdre au travers des multiples quartiers. Tu ne sais jamais où mettre les pieds, alors tu te contentes de marcher. Encore et toujours, à jamais et sans fin. Tu marches la tête vers les cieux, l’esprit bien ailleurs et sans penser. Tu marches sans porter attention aux gens qui te saluent ; tu leur réponds d’un mouvement énergique, d’un sourire rayonnant, mais tu ne portes pas réellement attention à leurs traits. « Hé Pika ! » Tu souris, même parfois, tu t’arrêtes quelques secondes pour discuter. Tu réponds à quelques questions. Quelque part, au fond de toi, tu as cette impression de toujours jouer ce rôle, celui du jeu. « Pika ?! T’aurais pas vu Sacha, par hasard? » Jessie et James. Tu leur souris, tu leur fais la grimace. Quelques secondes, tu joues avec eux, avec leurs nerfs, car tu sais parfaitement qu’au fin fond de tout cela, ils te posent uniquement la question pour jouer avec tes sentiments. Ils ont vus ta solitude. Ton abandon. Ils te narguent. Un coup d’éclair, et la chose prend fin. Ils sont là, brillant comme des étoiles. Toi, tu continues de marcher. Encore, encore et encore, jusqu’à temps que le jeu recommence.


Tu le vois, au travers de la foule. Une solitude parmi tant d’autres. Que ce soit dans la gare ou alors au travers d’un quelconque quartier, tu ne peux t’empêcher de pencher la tête sur le côté, lorsque tu le vois, et de stopper ta conversation. Tes yeux restent fixes sur sa personne et tu l’observes longuement, jusqu’à temps qu’il ne fasse plus parti du décor. Ton souffle semble s’être coupé, tout au long de son apparition. Tu en perds le cours de tes pensées. Puis au final, lorsque tes yeux ne voient plus que le contour flou de son dos, tu secoues la tête, un peu troublée, et tu retournes à tes occupations. Et puis un jour, une fois, tes pas le suivent. Silencieuse, tu l’observes d’un œil, tu marches sur le bout des pieds. Parce que tu n’as pas grand-chose à faire, et que de toute manière, les journées sont presque toutes identiques. Alors autant en perdre une à faire cela, étant donné que ta curiosité est douloureusement piquer. Ton cœur stoppe ses battements lorsque tu vois sa tête se tourner légèrement dans ta direction, et puis ses pas s’accélère. Un rire te prend, léger, délicat, et une lueur d’amusement, presque enfantine, naît au creux de tes prunelles. Tu ne peux t’empêcher d’accélérer le pas, le suivant toujours. Dans ta frêle poitrine, ton cœur tambourine à cent à l’heure, et un sursaut te prend, un hoquet également, lorsqu’il stoppe son pas. Tes yeux devraient être emplis d’horreur, devant le grand Bowser, mais ils brillent d’une marée d’étoile. Tu es émerveillée devant tout ce qu’il projette. « Tu ferais mieux de déguerpir petite » Tu restes un instant pendu à ses lèvres, à l’écho de sa voix rauque et grave de méchant, et ton sourire ne peut tout bonnement pas s’empêcher de grandir. Tu lui souris à pleine dent, comme si la chose était tout à fait naturelle. « Hm… nan ! » Un rire te prend, léger, délicat. Tes bras se croisent sur ta poitrine, lorsque tu te rends compte du qualificatif qu’il a usé pour parler de toi. « Et je ne suis pas petite ! » Tes joues se gonflent, tes sourcils se froncent. Dans l’air, l’électricité. Ta douce compagne. Au final, il finit par reprendre son pas en grommelant, et toi, tu décides de ne pas le suivre. Tu l’observe rejoindre son jeu, son monde, et puis tu rebrousse chemin.

Derrière l'écran

▲ PRÉNOM, PSEUDO : .NEObelzebuth ▲ ÂGE : dix-neuf années, bien que le vingt approche à pas de loup. ▲ COMMENT T'ES TOMBÉ(E) SUR LE FORUM ? Sexy Zack m'a tenté. ▲ PRÉSENCE : 7/7, une fois par jour pour y jeter un coup d'oeil, quoi. La curiosité, c'est ma plus grande qualité. ▲ PI OU SCENARIO ? PI PI PI ▲ UN TRUC A RAJOUTER ? PIKAAAAAAAAAAAAAAAAA

Dooonc voilà, ta fiche est cool, c'est sympa d'avoir fait de Pika une fille J'adore la personnalité que tu lui as donné, enfin bref, je te valide volontiers =)

Félicitations ! Ta fiche est validée, tu vas donc à présent pouvoir évoluer au sein de GCS. Tout d'abord, commence par faire recenser ton avatar et ton personnage, histoire qu'on ne te les prenne pas malencontreusement ! Tu peux aussi passer par ici pour t'inscrire dans les registres qui te concernent, pour que l'on puisse tenir tout ceci à jour Passe ensuite par là pour te trouver des liens, de ce côté si tu souhaites tenir ton registre de RP, et enfin ici si tu veux avoir ton petit journal. Tu peux également te diriger dans cette section si tu désires rédiger un scénario afin de montrer que tu attends un personnage en particulier, peut-être que les invités en seront intéressés En passant, pense aussi à remplir tous les champs utiles de ton profil, ainsi que les liens de tes différentes fiches, c'est pratique ! Voilà, tu vas maintenant pouvoir RP petit coquin ! N'oublie pas d'aider le forum en votant aux topsites et en commentant nos pubs sur Bazzart et CRPG !