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 heya, i'm your personal disaster ♛ midna

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MessageSujet: heya, i'm your personal disaster ♛ midna   heya, i'm your personal disaster ♛ midna Icon_minitime1Lun 25 Fév - 22:47


Midna of Twilight
« stars can't shine without darkness »





Moi le pixélisé


▲ NOM : of Twilight. Oui, avec la particule, tant qu'à faire. En réalité, les développeurs n'ont pas pris la peine de me donner un nom de famille. Mais après tout, il est révélé en fin d'opus que je suis la fameuse princesse du pays du Crépuscule, alors... autant l'assumer. ▲ PRÉNOM : Midna, comme 'midnight', non ils ne sont pas aller chercher très loin. Ceci dit je trouve ça assez seyant, donc je suis loin de m'en plaindre. ▲ ÂGE : 7 ans ; et pourtant je commence à me sentir vieille. ▲ NOM DU JEU : The Legend of Zelda : Twilight Princess. Un unique opus de la longue et culte saga du petit blondinet parti sauver la princesse d'Hyrule. ▲ MON STATUT : Je fais partie des gentils. Enfin : je ne fais pas partie des vilains. J'ai cette particularité d'être une équipière sans être franchement une princesse gentillette et rose (no offense à vous, hein...), je suis plus une équipière sombre et mystérieuse. Oui je sais, ça sonne pompeux. ▲ MON RANG : Je suis loin d'être la plus connue, mais oui, je crois que je suis assez connue tout de même. Je n'arrive pas à la cheville de Zelda, c'est clair. Mais je ne suis pas invisible non plus – enfin, j'espère... ▲ MON METIER : Et bien, il y a ceux qui ont un métier et ceux qui permettent à ceux qui ont un métier d'avoir un métier. Je n'ai donc pas de métier. Et t'as pas intérêt à me dire que c'est pas clair, oh ! ▲ MON AVATAR : Phoebe Tonkin

Ce qui te définit ▲ Je crois que je suis une emmerdeuse finie. Enfin, je dis « je crois », mais j'en suis sûre. J'aime embêter les gens, faire des petites farces pas trop méchantes, quoi que parfois ces amusements de gamine m'ennuient un poil. Je rigole souvent, la plupart du temps à mes propres blagues, et mon rire légèrement ridicule résonne dans toute la gare sans que j'en rougisse le moins du monde. J'ai l'air grande gueule, bien dans mes rangers et pas farouche pour deux sous. Mais ce n'est qu'un air, car au final, peu est réellement su sur moi. « Mystérieuse », dirait-on. J'accorde difficilement ma confiance, mieux vaut être seule que mal accompagnée, voilà ma devise. Tout ceci ne m'empêche certainement pas de m'amuser avec la plupart des gens que je croise, je suis loin d'être timide et plus loin encore d'être une sainte-nitouche... C'est en ce qui concerne les choses plus « personnelles » que je me referme comme une huître. Je me méfie de ceux qui m'entourent, toujours prête à riposter si l'on m'attaque – dans le dos, dans le dos. Car il y a quelques fêlures sous la façade (se craquelant toujours un peu plus) de la narcissique invétérée.

Ce qu'il faut savoir ▲ J'aime les vêtements noirs, j'aime les vêtements en général. J'aime m'occuper de mon apparence – bah quoi, c'est important l'apparence ! Conséquence ou cause de l'annonce précédente : j'aime les conquêtes. J'aime séduire bien qu'au final je n'aime pas tant que ça conclure. C'est le processus qui m'enchante, comme une petite danse rituelle autour d'un feu sacré. J'aime faire n'importe quoi, bouger partout, courir, sauter, je ne supporte pas de rester assise et inactive. Je lis beaucoup, aussi, lire me détend quand je ne peux pas faire n'importe quoi n'importe où. Je déteste me retrouver au milieu d'une foule, je pense que je suis légèrement agoraphobe mais aucun médecin de la gare n'a encore pu me le confirmer. De même, rester plus d'une heure en compagnie d'un groupe excédant quatre personnes me paraît absolument surhumain, et si je ne connais pas tous les protagonistes, il y a fort à parier que je me serais carapatée en moins de vingt minutes. Je n'aime pas le bruit mais j'aime bien danser, pas trop longtemps cependant. J'aime pas la lenteur. J'aime beaucoup mes cheveux, j'en prends grand soin. Les choses trop sucrées me dégoûtent, ainsi que les choses trop grasses, et non je n'aime pas le chocolat mais oui je le vis bien, ne vous inquiétez pas (trop). Mon pêché mignon, c'est le jus de tomate.




Des questions ?

CALIGARE, T'Y CROIS A CETTE HISTOIRE ? ▲ Je pense qu'un jeu ne peut pas être débranché sans raison, et il faut se rendre à l'évidence : Professeur Layton était un jeu quasiment neuf, qu'est-ce qui aurait pu bugger ? Une arcade ne bugge pas au bout de deux ans quand même ! Non je pense qu'il y a des raisons de croire que quelque chose de louche se cache là-dessous. Après, de là à dire qu'il s'agit du "Caligare"... je ne sais pas. Je pense que ça mérite l'attention des personnages sans pour autant que la panique prenne le dessus.
T'AS PEUR POUR TON JEU ? ▲ Oui et non. En fait, je crois que j'ai peur, mais je me le cache, je me rassure. C'est normal je crois, hein ? Je me dis qu'au fond l'univers de Zelda est bien trop vaste pour être entièrement détruit, puis qu'il y a bien un moyen ou un autre de faire reculer le virus si jamais il existe et si jamais il s'attaque à nous... Oui, je suis très imaginative en termes de raisons-qui-justifierait-de-ne-pas-avoir-peur, mais je ne suis pas sûre qu'elles fonctionnent réellement... car la peur est bel et bien là, tapie dans un coin de mes songes.
ET SI UN JOUR T'AS PLUS TON JEU ? ▲ Oh, si vous me côtoyez dans la vie de tous les jours et que vous me posez la question, je répondrais probablement que je m'en contrefiche, que je n'accorde aucune importance au monde de Link, Zelda et les autres ; que je me porterais bien mieux, au contraire, si je n'étais pas enchaînée toute la journée à cette stupide ville d'Hyrule et à ses alentours... C'est dans mon habitude de faire croire à tout le monde que rien ne me touche. Mais puisqu'on est entre nous et que personne ne nous écoute, voilà : en réalité, je crois bien que ça me ferait mal. Après tout ce jeu c'est ma maison, j'y vis depuis déjà sept ans, j'en connais les moindres recoins... Rien ne pourrait le remplacer. S'il venait à être détruit je pense que j'essaierai de me rendre utile à la gare en travaillant quelque part, à la librairie ou n'importe où ailleurs. Il faudrait bien que je m'occupe, quoi...




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« on est des corbeaux, et alors ? regardez tous ces oiseaux de couleurs qu'on a mis en cage... »